Le lien de la lexicologie avec les autres branches de la linguistique



Le système de la langue présente un ensemble d'unités hiérarchisées. En allant des unités plus simples aux plus complexes on distingue les phonèmes, les morphèmes, les mots, les propositions. Chacun de ces types d'unités constitue ce qu'on appelle un niveau de structure. Ce sont respectivement les niveaux phonologique, morphologique, lexical, syntaxique. La lexicologie étudie les unités du niveau lexical: les mots et leurs équivalents fonctionnels. La lexicologie se trouve étroitement rattachée à la morphologie et à la syntaxe. Le lien entre la lexicologie et la morphologie: la lexicologie s'intéresse à le rôle des mots dans l'enrichissement du vocabulaire, alors que la morphologie y voit des caractéristiques particulières propres aux parties du discours. La lexicologie s'unit à la phonétique (phonologie). Comme toute autre langue le français possède son propre système phonique caractérisé, par les particularités de la structure sonore des mots qui ne sont pas sans intérêt pour la lexicologie. Il importe de relever les traits spécifiques de la prononciation dialectale qui offre des déviations à la norme littéraire. Il est de même nécessaire d'avoir en vue que la prononciation des emprunts faits aux autres langues peut sensiblement s'écarter des règles de la prononciation française.La lexicologie est en contact avec la stylistique. Elle prend en considération l'emploi des vocables dans les styles variés de la langue.

19. Polysémie et monosémie des mots

Contrairement à un mot monosémique qui n'a qu'un seul sens un mot polysémique possède plusieurs sens au niveau de la langue-système à une époque déterminée.

Généralement les linguistes reconnaissent que la grande majorité des mots est polysémique, que les mots ont tendance à prendre de nouvelles acceptions.

À la suite de son évolution historique le mot développe son système de sens, il s'enrichit d'acceptions nouvelles. La polysémie est précisément la faculté du mot d'avoir simultanément plusieurs sens à une époque donnée. Le mot peut donc généraliser dans des directions différentes. La faculté du mot d'exprimer simultanément des sens différents pourrait être illustrée par le substantif perle. Le mot perle a désigné 1) tout d'abord un corps rond et nacré qui se forme dans certains coquillages ; 2) puis, par analogie, une petite boule de verre, de jais, d'or... percée d'un trou et qui sert d'ornement : pris au figuré il nomme : 3) des gouttes de rosée et 4) une personne ou chose sans défaut.

20. Suffixation (généralités) ; Préfixation (généralités)

La dérivation suffixale est un procédé de formation des mots nouvaux, qui consiste à ajouter une suite phonétique appelée suffixe après le radical d’un vocable déjà existant. Le suffixe forme un tout avec le lexème de base. L’autre trait particulier des suffixes est leur pouvoir classificateur, le suffixe fait le plus souvent passer le mot qu’il forme dans la partie du discours autre que celle à laquelle appartenait le mot générateur. Les substantifs et les adjectifs sont les parties du discours les plus sujettes à la suffixation. Tandis que les verbes formés à l’aide de suffixes sont relativement moins nombreux. Les adverbes ont un seul suffixe -ment, qui sert à former un adverbe d’un adjectif et la prouctivité de ce suffixe est limitée par le nomre des adjectifs.

Le degré de vitalité et de productivité des suffixes existants, n’était pas toujours le même au cours du temps. Deux tendances se présentent: certains suffixes ont à peu près ou tout à fait cessé d’être productifs, d’autres sont en pleine vigueur et productivité. Pourtant les suffixes moins productifs ne sont pas sans importance, eux non plus, dans le français d’aujourd’hui.

La dérivation préfixale est un procédé de formation des mots nouvaux, qui consiste à mettre un ou un groupe de phomèmes appelé préfixe devant le radical d’un vocable déjà existant. La préfixation autant que la suffixation contribue efficacement à l’enrichissement du vocabulaire français. A la différence des suffixes, les préfixes peuvent être facilement délimités, on n’éprouve aucune difficulté à trouver la frontière entre un préfixe et la base formative. Seul le préfixe peut se voir masqué par le jeu des assimilations (insoluble, impossible). Un autre trait particulier des préfixes c’est qu’ils ne font pas générallement les mots passer d’une partie du discours à une autre. La partie du discours la plus sujette à la préfixation est le verb. Comme les suffixes, les préfixes se subdivisent en préfixes morts et vivants, productifs et improductifs.

21. Le vocabulaire en tant que système.

Vocabulaire – c’est une ensemble d’unites lexicales formant systeme. Les vocables de toute langue ne sont pas isolees les uns des autres. Par exemple la serie des mots : hardiesse,audace,intrepidite,temerite. Chacun de ces mots se distingue par quelque indice semantique qui en constitue l’individualite.

Les modifications survenue a quelque vocable se font infailliblement sentir sur d’autres vocables relies au premier par des liens divers. Les changements semantiques d’un mot peuvent se repercuter sur les mots de la meme famille. L’emploi particulier d’un mot peut egalement avoir pour resultat la

modification de sa signification. Par exemple, un mot en voisinage d’un autre mot peut subir l’influence semantique. P/E : pas,point de meme que rien, personne,guere.

Le systeme du lexique, comme tout autre systeme, supose l’existance d’oppositions. Ces opositions s’appuient sur des rapports associatifs qui existe au niveau de la langue-systeme.

P/E : enseignement a le rapport avec enseigner ; envisager s’associe a instruction, apprentissage, education. L’ensemble des unites entretenant entre elles , un type de rapport paradigmatique constitue un paradigme.

22. Restriction et extension du sens ;

La restriction et l'extension du sens sont le plus souvent le résultat du changement de l'aire d'emploi d'un mot qui passe d'une sphère de l'activité humaine dans une autre. Généralement ces procès sémantiques n'amènent guère à la polysémie.

La restriction du sens est une conséquence de la réduction de la fonction nominative du mot qui de l'expression d'une notion de genre passe à l'expression d'une notion d'espèce.

Avaler (de à et val) dont le premier sens était très étendu — «descendre, faire descendre, abaisser» ne signifie aujourd'hui que «faire descendre dans le gosier» ; le sens étymologique apparaît encore dans l'expression en aval de.

Labourer signifiait primitivement «travailler» en général ; on labourait non seulement la terre, mais également le bois, les métaux ou autre matière; plus tard le sens de ce verbe s'est restreint, il ne signifie que «travailler la terre ».

L'extension du sens présente un mouvement contraire dû à ce que le mot reçoit une plus grande liberté quant à sa fonction nominative : on assiste à la transformation d'une notion d'espèce en une notion de genre.

Fruit signifiait «résultat d'un travail» (en latin), puis «produit de la floraison», et de nouveau — «résultat d'un travail».

Dame est passé du sens de « femme de haute naissance » au sens de « femme » tout court.

23. Définition de la phraséologie. Problème des groupements de mots libres et stables

La phraséologie c'est l'aspect particulier de la lexicologie ou même une branche indépendante de la linguistique qui a pour but d'étudier les groupements stables (locutions phraséologiques).

La grande question qui se pose concerne la nature des groupements libres et des groupements stables (locutions phraséologiques), leurs traits particuliers, leurs limites. Les groupements libres qui se constituent au moment de la parole tels que : un bon livre, un mauvais livre, un bon camarade, un mauvais camarade, la maison de mon père, le crayon de mon frère, etc. sont du ressort de la grammaire (de la syntaxe).

La phraséologie s'occupe des groupements stables (locutions phraséologiques) qui ne se créent pas au moment de la parole, mais y sont reproduit en tant qu'unités toutes faites, unités lexicales. La plupart des locutions phraséologiques se caractérisent par leur intégrité sémantique, c'est-à-dire elles présentent un tout unique au point de vue de sens. De cette façon, les locutions phraséologiques sont des unités lexicales qui par leur fonctionnement se rapprochent souvent des mots ce qui permet d'envisager leur création à côté de la formation des mots. Les locutions phraséologiques sont souvent les équivalents de mots simples: prendre une décision - décider; faire halte - s'arrêter; avoir peur - craindre; faire peur - effrayer; tout le monde - tous. 24. Le lien de la lexicologie avec les autres branches de la linguistique.

26. Onomatopée

L'onomatopée est une catégorie d'interjections émises pour simuler un bruit particulier associé à un être, un animal ou un objet, par l'imitation des sons que ceux-ci produisent. Certaines onomatopées sont improvisées de manière spontanée, d'autres sont conventionnelles.

Par exemple, les expressions « cui-cui » et « piou-piou » sont les onomatopées désignant le cri de l'oisillon, « crac » évoque le bruit d'une branche que l'on rompt ou d'un arbre qui tombe au sol, « plaf » et « plouf » correspondent au bruit d'un plongeon, etc.

Les études linguistiques ont toutefois renouvelé leur intérêt pour l'étude des onomatopées, notamment à cause de leur valeur phonologique : l'émission d'une onomatopée est déterminée par la configuration du système phonétique et de son utilisation en fonction des régions. Les onomatopées auraient été, avec le langage gestuel, une des premières manifestations des potentialités de communication linguistique de l'homme. Хз что еще сюда впихнуть

27. Mot comme unité sémantico-structurelle fondamentale de la langue. Le mot et la notion

Le mot est reconnu par la grande majorité des linguistes comme étant une des unités fondamentales, voire l'unité de base de la langue. Cette opinion qui n'a pas été mise en doute pendant des siècles a été toutefois révisée par certains linguistes du XXe siècle. : (structuralistes américains, Ch. Bally, A. Martinet et autres). . Parmi les premiers il faut nommer des représentants de l'école structuraliste, et en premier lieu les linguistes américains Z.S. Harris, E.A.Nida, H.A. Gleason, selon lesquels non pas le mot, mais le morphème serait l'unité de base de la langue. Conformément à cette conception la langue se laisserait ramener aux morphèmes et à leurs combinaisons.

Dans la linguistique française on pourrait mentionner Ch. Bally qui propose la notion de sémantème (ou sème) qui serait « un signe exprimant une idée purement lexicale », et la notion de molécule syntaxique ou « tout complexe formé d'un sémantème et d'un ou plusieurs signes grammaticaux, actualisateurs ou ligaments, nécessaires et suffisants pour qu'il puisse fonctionner dans une phrase». La notion de «sémantème» est illustrée par des exemples tels que loup, louveteau, rougeâtre. etc., celle de « molécule syntaxique » pari ce loup, un gros loup, marchons ! Ainsi Ch. Bally sépare l'aspect lexico-sémantique d'un mot non-actualisé dans la langue-système de la forme de ce mot actualisée dans la parole.

Plus tard A. Martinet a aussi rejeté la notion de mot en lui substituant celle de monème qui lui a paru plus justifiée que celle de mot. Selon lui, les monèmes sont les unités minimales de sens (autonomes ou non-autonomes). Ainsi dans nous travaillons on aura, selon A. Martinet, trois monèmes: nous travaill-ons.

Parmi les monèmes il distingue les lexèmes-monèmes de type ouvert (dans l'exemple cité: travaill-)et les morphèmes-monèmes de type fermé (nous et -ons).

Le mot et la notion constituent une unité dialectique. La notion peut être rendue par des moyens linguistiques différents : par des mots, des groupes de mots. La faculté d'exprimer des notions est une des caractéristiques fondamentales des mots et de leurs équivalents. Pourtant unité ne veut pas dire identité. Un mot peut être lié à plusieurs notions et, inversement, la même notion est parfois rendue par des mots différents. Les notions, peuvent être réels et irréels. Ils sont réels à condition de refléter les propriétés des objets et des phénomènes de la réalité objective. Tels sont : électricité, atome, réalité, jugement, science, mot, morphème; homme, enfant, etc. Les notions, irréels ne reflètent pas des objets et des phénomènes existants ; tels sont : panacée, phlogistique etc. Les notions irréels ne sont pas détachés de la réalité objective. Ils reflètent des fragments de la réalité combinés grâce à l'imagination. Ainsi, les deux degrés de la connaissance sont inséparables. Le lien des notions avec les représentations et les perceptions détermine la faculté du mot d'exprimer non seulement des notions, mais aussi des représentations. Le mot tableau à l'état isolé, exprime une notion ; il se rattache à une représentation, à une image concrète, déterminée pour le maître qui s'adresse en classe à un de ses élèves avec la phrase Venez au tableau !

Types de sens du mot

Les sens des mots se laissent classer d'après quelques types essentiels.

Tout mot polysémique possède un sens propre et des sens dérivés. Donc, le sens propre d'un mot est celui qui ne se laisse historiquement ramener à aucun de ses sens actuels, alors que les sens dérivés remontent directement ou indirectement au sens propre. Le sens propre et les sens dérivés d'un mot ne peuvent être dégagés qu'à la suite d'une analyse diachronique.

Dans la synchronie on distingue 1e sens principal et les sens secondaires d'un mot polysémique. Le sens principal, étant le plus usité à une époque donnée, constitue la base essentielle du développement sémantique ultérieur du mot. Il peut coïncider tantôt avec son sens propre, tantôt avec le dérivé.

On distingue aussi les sens phraséologiquement liés s'opposent aux sens dits libres.

29.​ Composition des mots

La composition est moins productive que la fixation mais elle est interessante a analyser parce que cet un phenomen linguistique delicat et complex. Le mot compose presente un tout unique du sens de la phonetique et de la grammaire. C`est un tout semantique. Presque tous les mot composes sont les resultat de la lexicalisation des groupment sentaxique. Ils s`ecrivent avec trait d`union (-)

beau (-) pere

oiseau (-) mouche

cache (-) nez

tourne (-) disque

L`ortograph des mot composes est varié. On peut classer tout les mot composes en quelque groupes :

1) adj + subst    

subst + adj

Ex : bonhommes, belle-mere, sang-frois, peux-rouge

2) subst + prep + compliment

Ex : belle de nuit, arc-en-ciel, eau-de-vie

3) adv + prep + sub

Ex : sans-travail, avant-scene

4) forme verbal + subst

Ex : brise-glace, gratte-ciel, essuie-glace

5) 2 ou > radicaux

Ex : airogaze, magnetophone, télescope

30.​ La signification en tant que structure

La structure de la signification lexical est phenomene linguistique complex. Elle depent de facteur extralinguistique et entrelinguistique. Le role central de cette structure appartient a la notion. Les autres elements sont facultatives: nuances emotionelles, carateristiques stylistiques des particularites d`emploi.

La structure de signification lexical commence par de degagement des composents don’t apples seme. Chaque signification lexicale possede plusieurs semes qui forment le semanteme. Ces semes peuvent etre generique ou specifique. Il y a aussi des semes occasionnelles et potantiels qui se manifestent dans le discour.

31.​ Métaphore

Le metaphore est la denomination d`un object par un autre lie on premier par un isolation de similitude.

Par metaphore on designe un object qui a quelque très contant avec l`object par le mot.

Ex: le pied d`une montagne, les dents d`un peigne

Le M. ont a leur base des comparesonts. Les M. sont surtout nombreuse dans l`argot.

Par la M. on designe un nouvelle object ou phenomene qui contrerement a la metonimie suppose quelques proprieties ou traits communes avec l`object designe par le mot.

La M. est un procede semantique extrerement fecond.

Ex: le nez d`un navire (карма), une tete de loup, le bec d`une theiere (заварочныйчайник)

32.​ Abréviation

Le francais modern a un tendance d`abreger des mots trop long. On distangue 2 types d`abbreviation:

1) Troncature (coupure des mots)

a) apocopes (fin du mot)

Ex: metro(politain), huma(nite), cine(ma), baro(metre), tele(viseur), cilo(gramm), dactilo(groph)

b) apherese (debut du mot)

Ex: (cap)itaine, (auto)bus, (Ame)ricaine

2) Sigles

a) alphabetismes

Ex: SNCF, TGV, BD, ONU, SF

b) Acronimes

Ex : TOM, DOM, OVNI, Benelux (Belgique, Nederland et Luxembourg)

L`abreviation c`est un procede tres productif et vif en francais.

33.​ Le sens étymologique des vocables. Les vocables motivés et immotivés

Il est évident qu’il n’y a pas de liens directs entre le mot et son enveloppe sonore ; entre sa structure phonique et l’objet qu’il désigne.

Pourtant le mot est historiquement déterminé dans chaque cas concret. La dénomination d’un objet est basée sur une particularité quelconque de cet objet.

Ex. La tabletabula « planche » (lat.) → le sens étymologique

Le calcul calculus « caillou » (lat.). Autrefois on comptait à l’aide

des petits cailloux.

Le sens primaire ou le sens originaire est appelé le sens étymologique d’un mot. Mais l’étymologie d’un mot n’est presque plus sentie à l’époque moderne. A cette question est étroitement liée la question des mots motivés et immotivés.Il ne faut pas confondre le sens étymologique du mot et sa motivation. Le premier appartient à l’histoire du mot, alors que la motivation reflète l’aspect de ce mot à une époque donnée.

Tous les mots d’une langue ont un sens étymologique alors que beaucoup d’entre eux ne sont pas motivés.

34.​ Formation des mots nouveaux comme moyen de l'enrichissement du vocabulaire français

35.​ Adaptation des vocables empruntés au vocabulaire du français

Les emprunts s`adaptent aux degrees differents au voc de la langue emprunteuse. Il faut distingue :

1) Les emprunts avec une faible adaption. Ces mots figurent dans le voc en qualite des mots etrangeres. Dans la langue courante ces vocables sont appeles xémismes. Ces vocables sont exotiques pour la langue emprunteuse : izba, mazurka, zakuski, borch. Beaucoup des mots anglais ou anglo-americain conservent leur caractere etrangere (son aspecte phonetique et d`ecriture) grace au development de l`anglais comme la langue mondiale.

2) Les empruntes naturalises apres les modification phonetique et morphologique ne se distinguent plus des mot du voc fransais. Parmi ces empruntes assimiles en 1er lieu sont les mots d`origine latine et greque et encore des mots d`origine romane.

36.​ Emprunts aux langues classiques

Ce sont le latin et le greque qui ont marque profondement la langue francaise. Le francais a emprunte non seulement des mots de domene differentes mais aussi un grand nombre d`elements : -ation, -ement, ique, al, isme, anti, inter

37.​ Dérivation parasynthétique et régressive

Derivation parasynthétique c`est la formation de mot nouveau a l`aide d`un suffixe et d`un prefixe. Il s`agit de l`adjonction sinutané.

Nous prenons la base formative ou la redical et nous adjetons un prefixe et un affixe.

Ce procede est productif dans la formation des adj.

La dérivation régressive

Ce procede est apple la derivation avec la suffixe zero. Ce la formation des mots par le retranchement du suffixe

Seulement l`analyse diachronique peut aide a trouve des examples de la derivation regressive

En fr moderne la DR et plus prodictive.

38.​ Caractéristiques phonétiques et grammaticales des mots en français moderne

Phon.

Les mots fr sont brefs. Plusieurs mots fr sont monossylabes. Il y a des mot a plusieurs sylabes mais la tendance d`abrege, les mots mene jusqu`a homonimie.

La sylabation des mots fr est uniforme simple. La predeminance des sylabes ouvertes 70%. Les types de sylabe ouverte les plus frequent

C – V (repeter)

C – C – V (ble/sser)

C – V – V (e/cou/ter)

Les mots fr ne sont pas fonitiquement isolees. L`accent final sur la dernier voyelle du groupe rythmique.

Gram.

Le lien etroit du mot et de la preposition. En se groupant en proposition les mots expriment des idee.

L`appartenance des mots a une de partie du discour (verb, les adj, les subst, les adv, les pron).

La faculte des mots de se decompose en morpheme.

39.​ Emprunts aux langues romanes

L`italien, l`espagnol et portougais sont les langues romanes.

1) Les E. Italien :

a) l`art militaire : attaquer < attacare, barricade < barriate

b) la marine : escadre < squadra

c) la musique : soprano, opera

d) la peinture : aquarelle

e) la cuisine : macaroni

2) Les E. espagnol :

f) l`art militaire : adjudante < ayudante

g) la marine : embarcation < embargo, canot < canoa

h) la musique : castagnette < castaŇeta < castaŇa

i) la cuisine : chocolat < chocolate

3) Les E. portugais : albinos, manolarin, caste, barroc, banan, fétiche. Ces E. ont pénétré dans tout les domaines de la vie humaine.

40.​ Idiomes : ensembles phraséologiques

Les I. sont des locution dont le sens global ne correspond pas avec le sens des mot composants.

D`apres le degree de leur motivation on distingue 2 types d`idiomes :

1) Les locution soudees

2) Les ensembles phraséologiques absorbent l`individualite des mots composants sans priver leur sens. Le sens global des EP decoule plus ou moins naitement du sens des mots composes.

 

 


Дата добавления: 2018-08-06; просмотров: 1010; Мы поможем в написании вашей работы!

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